« Viens on parle de moi. » Ϟ Joan.

TUMBLR.

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✎ La dernière partie à rédiger, la plus pénible pour certain, mais qui reste tout de même importante. Quelques anecdotes suffiront, mais vous pouvez rédiger cette partie sous la forme qu'il vous plaît, en relatant quelques passages importants de la vie de votre personnage. Nous demandons un minimum de trente lignes.

o COMMENCEMENT

« ON ME DIT SYMPATHIQUE, ON ME DIT DOUCE, ON ME DIT AMIE AVEC TOUT LE MONDE. PREMIÈRE PENSÉE. MAIS QUI À BIEN PU FAIRE PASSER SES CONNERIES? »

« tu sais Joan, tout connais tout de moi aujourd'hui. Je t'ai tout dis, tout donné. J'ai tout partagé avec toi. Alors explique moi pour quoi tu ne parles jamais de toi? De ton passé, ou du futur que tu envisage.. » Rose était là. Mon amie la plus proche était juste devant moi, me suppliant du regard de lui dévoiler le moindre de mes secrets. J'avais prié si longtemps pour que ce jour n'arrive jamais, mes prières avait dut être oubliée. Et désemparée je répondit d'une voix faiblarde ; « tu veux que je t'en apprennes plus sur moi? D'accord. Mais tu dois me promettre de ne jamais m'abandonner. » Et sur ces mots j'entamais le discours de mon enfance.
Tout d'abord sache que je suis née un lundi. Un lundi vingt-deux avril, dans une clinique de Londres. Je suis fille de sorciers, mais dans mon sang coule aussi celui des Vélanes. Cependant mon appartenance au monde magique est sans conteste pure. Ma mère est tombée malade peut après ma naissance et affaiblie par l'accouchement elle ne s'en est pas sortie. Ainsi j'ai grandit avec mon père, dans cette même ville et n'ai jamais envisagé d'en partir. Et de toute façon c'est ici que je me sens vraiment chez moi, en fait non ; je dirais plutôt que mon père est mon chez moi. Je suis fille unique et n'ai jamais exprimé le besoin d'être accompagnée d'un frère ou du sœur, ni d'avoir une quelconque autorité féminine dans ma vie. En fait depuis mon enfance j'ai toujours eu beaucoup d'ami(e)s et même aucuns ennemis ce qui me comblait parfaitement. Enfin je pense. Quant à mon père: il c'est toujours très bien occupé de moi, gérant le magasin d'accessoire de Quidditch sur le chemin de Traverse, ils avait (et a toujours) des horaires ni surchargés ni vraiment souples. Je dirais même qu'en fin de compte j'ai eu la chance de grandir dans un environnement aussi équilibré et attentionné, sans pour autant être trop couvée.

« LA SOURIS A PEUR DU CHAT ET LE CHAT DU CHIEN. »

Vingt-deux avirl, huit ans plus tard ▬ Rencontre avec Bastet.
Ce jour là je fêtais mes huit ans. Mon père m'avait offert un vélo le matin même. « tu es assez grande pour aller à l'école seule » m'avait-il dit alors que je déballais le paquets. Devant mon visage ravi il s'était empressé d'ajouter « mais promets moi de faire bien attention sur le chemin! ». Petite fille je m'était alors empressée de l'essayer. Après une journée à pédaler le long des rues de mon quartier et après m'être amusée comme une petite folle vint l'heure de rentrer. C'est ce jour là, dans cette rue étroite que je fit ma première chute de vélo, quand un chat noir comme ceux que qualifie les moldus de « chat de sorcière », aux yeux verts pénétrant, passât juste devant ma roue. Empoignant les freins à pleine main, je fit un vol plané mémorable et avant même que j'ai eu le temps de prononcer un mots mes fesses se retrouvaient écrasées sur les pavés du chemin. Ce qui m'étonnât le plus ne fut pas le fait qu'aucune larme ne tombât de mes yeux humide de douleur mais plutôt le fait que le chat qui aurait dut prendre ses jambes à son cou, était en fait là juste à côté de moi. Frottant son museau contre mon genou abîmé. Et puis deux minutes plus tard celui-ci se retrouvais dans le petit panier de mon nouveau vélo en route pour la maison. « il va te falloir un nom. » lui avais-je alors annoncé comme s'il pouvait me comprendre. Et depuis ce jour Bastet, car c'est comme cela que je l'ai baptisée, se trouve toujours à mes côtés. Plus précieuse que jamais.

o CONTINUITÉ

« RECTIFICATION, SONGEAI-JE, MA PLACE EST PARMI LES EMMERDEUSES. »

Là vous vous dîtes; « Joan à eu une belle enfance tout de même. » et soyez certain que je ne dirais pas le contraire, loin de là. Heureuse, ni trop gâtée ni pas assez, aimée autant vous dire que j'avais tout pour réussir. Cependant c'était sans compter l'arrivée de Teddy Teenweather, nommé Ted, Rencontré au cours de ma première année à Poudlard. Ce fut mon premier copain et mon premier amour, mais aussi le début de ma « chute ». Quand Ted entra dans ma vie il n'y entra pas seul mais accompagné de sa bande d'amis, et malheureusement il n'était pas vraiment ce que l'on qualifie de bonne fréquentation. Mais mon père l'aimait bien et pour moi c'était un signe. Il me monta rapidement une pseudo côte de popularité et un entourage d'amis tous plus fictif les uns que les autres. « dans la vie, on à le choix entre l'amour, la drogue et la mort. Nous on choisi les deux premières et la troisième ce sera à elle de nous choisir si elle nous veux. » m'avait-il dit un jour. « arrêtes donc de dire autant de conneries à la minutes » lui avais-je répété. « tu sais Jo' je ne fait pas qu'en dire j'en fait aussi.. je regrette sincèrement. » ses mots étaient étrangement lointains et tranchants. Le regardant alors dans les yeux je parvins à articuler quelques mots non sans difficultés. « finalement tu n'es pas si différents des autres.. » Et sur ses mots je détournais les talons. Depuis je l'évite au maximum même si son regard me fait souvent regretter mon choix.

« LE SALAUD. L'INGRAT. »

15 juillet, dix-huit ans plus tard « Joan ! Attend moi mon cœur! Mais ralentit je t'en pris! » Joan n'écoutait déjà plus les paroles pareils à des cris désespérés que prononçait la voix grave et sexy de Teddy. « non Ted, tu t'es bien foutu de moi sur ce coup ! Mais c'est terminé et quand je vais la retrouver cette g***e... » Elle était essoufflée comme jamais, mais elle ne se retournerais pas, Oh non pas cette fois ! Comment avait-il osé ?! La tromper, elle, elle qui l'aimait tant. Puis tout à coup elle se stoppa net, et se retournant d'un coup elle lui lançât « tu sais quoi ? Oublis moi, laisse moi tranquille et cherche toi une autre greluche! ». Suite à ses mots elle s'enfuit en courant en direction de son repère à la volière, le laissant là seul avec ses regrets. Est-ce qu'elle venait vraiment de le faire ? Avait-elle vraiment laissé tomber Ted ? Elle n'en croyais pas ses yeux. Elle aurait préféré que tout ceci ne soit qu'un cauchemar. Après une course, qui lui parut interminable, Joan entamma enfin la montée des escaliers de la grande tour qui servait de volière à Poudlard. C'est une fois arrivée en haut des marches qu'elle s'accordât une courte pause cigarette comme à son habitude.