STAN ✿ en sautant elle a du penser qu’elle s’envolerait.

CREDIT TUMBLR.

STANLEY CAVILL
plus grave que l’intolérable souffrance d’être amoureux ?

CURRICULUM VITAE
Nom : Cavill, nom qui me vient de mon père, père qui a beaucoup de mal à m'accepter telle que je suis : Une sorcière. Pour lui tout cette histoire n'est que folie, il essaye toujours de se persuader que ce n'est qu'un rêve. Ce nom est connu pour quelques moldus étant donné qu'il y a un acteur célèbre qui le porte, et cette personne s'avère être le cousin de mon père. Il avait beaucoup de charme étant jeune, du moins d'après les photos, mais depuis il se fait vieux. Prénom : Stanley, je me rappelle encore des nombreuses remarques lorsque je n'étais qu'une enfant, une nom masculin pour une demoiselle. Ma mère a sûrement choisi ce prénom à cause de sa chanson préférée : Stan d'Eminem, un vieux truc de moldu. Mais à force d'avoir entendu cette chanson, j'ai fini par m'habituer et depuis cette chanson a le don de m'apaiser. Date et lieu de naissance : Je suis née le dix-neuf janvier à Folkestone, une magnifique ville Anglaise où j'ai passé toute mon enfance et dont je garde les meilleurs souvenirs. Année d'étude : Je suis maintenant septième année. Et j'espère que cette année sera encore mieux que les précédentes. Origines : Anglaises. Maison : Hufflepuff, cette maison était faite pour moi, je ne pouvais pas tomber mieux. Mais contrairement à beaucoup d'élèves, ce n'est pas une tradition familiale étant donné que je suis la première de la famille à entrer dans cette école. Patronus : J'ai découvert mon patronus il y a deux ans, et celui-ci est une loutre. Baguette : Bois de rose, crin de licorne, vingt-deux centimètres. Statut du sang : Je suis une née-moldue, une Sang-de-Bourbe comme certains disent. Niveau scolaire : Je ne dirais pas que je suis excellente, mais je suis plutôt bonne. J'ai eu du mal à m'adapter au début, j'étais dans un monde inconnu, un monde qui n'était pas le mien et dont je ne connaissais rien, mais je me suis habituée et avec le temps j'ai réussi à devenir une bonne élève. Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, à vrai dire je n'ai jamais essayé avec une fille et je n'ai jamais été attirée par quelqu'un du même sexe que moi, mais qui sait : cela pourrait peut-être arriver ? Options choisies : J'ai eu de nombreuses difficultés à choisir deux options, étant donné que de nombreuses me plaisaient, j'ai toujours été très curieuse, j'aime découvrir de nouvelles choses et ma soif d'apprendre est insatiable. Aussi, si j'avais pu, j'aurai choisi au moins quatre heures d'option en plus. Mais je dois me contenter de Sorcerologie et d'Arts Magiques Appliqués.

GIGGLING MUGGLE MONSTER
Pseudo/Prénom : Fanny. Âge : Dix-sept ans et dix-huit dans deux moi, bientôt j'aurai la liberté de boire de la vodka non je ne suis pas une alcoolique (a) Avatar : Leighton Meester, première fois que j'ai l'honneur de la jouer Commentaire, dédicace : waw, ça faisait longtemps que je ne m'étais plus inscrite sur un HP et là je suis tombée sous le charme La radio pirate ça me fait penser à Good Morning England bref je dis bravo aux administratrices pour le merveilleux travail qu'elles ont fourni, parce que le résultat est très très agréable.

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Allez danse, danse, viens dans mes bras, allez tourne, tourne, reste avec moi, allez partons vite si tu veux bien, dès le jour ... Le soleil brille très haut tu sais, mais j'aime ça, je t'attendais. Alors partons vite si tu veux bien, sans retour… Une douce musique berçait mon sommeil tandis que je me réveillais lentement dans un autre monde : le monde de mes rêves. Le monde que personne n'avait encore réussi à percer. Le monde que jamais je ne partagerai. Un monde mystérieux et différent à chaque fois, un monde étonnant et fascinant, un monde à faire peur parfois. J'ai ouvert les yeux sur un ciel bleu. Le vent effleurait ma peau, faisant danser mes cheveux bruns gracieusement. Je ne savais pas où j'étais, je m'étais réveillée sur un endroit totalement inconnu. Mais tellement époustouflant. J'étais dans un champ, des milliers de fleurs le peuplant. Je me sentais bien, trop bien ? Je me sentais chez moi. Je tournais en rond, les bras ouvert, souriant comme à mon habitude. Tout cela semblait si irréel. Je me suis laissée tomber dans l'herbe, caressant les douces fleurs de mes doigts, fixant le ciel d'un bleu incroyable pendant de nombreuses minutes. Je pense que j'aurais encore pu continuer pendant des heures si je n'avais pas aperçu cette silhouette. Elle courait, me souriait. Je ne connaissais pas cette jeune femme et elle me semblait pourtant si familière. Son sourire me disait de la suivre alors c'est ce que j'ai fait. Elle semblait voler tellement elle était pleine de grâce. Je l'ai suivie en courant et puis elle disparut. Comment avais-je pu la perdre ? Je me suis mise à chercher aux alentours jusqu'à ce que j'entende une voix m'appeler, sa voix. « suis moi Stanley, suis ton destin, il y a tellement de choses que tu ignores, suis moi et tu auras les réponses à tes questions. » J'étais comme envoutée par cette voix, alors je l'ai suivie, tendant l'oreille à chaque instant. Et je suis arrivée là où elle m'attendait. Elle se baignait, sous une cascade, elle m'appelait de ses mains. « saute Stanley, plonge me rejoindre. » J'ai regardé en bas, ce n'était pas tellement haut. De plus je n'avais pas peur, ce n'était que de l'eau. Alors je n'ai pas hésité : j'ai sauté, un merveilleux sourire aux lèvres, insouciante. « NOOOON ! » Je ne savais pas d'où venais ce cri, il semblait me parvenir d'un autre monde, beaucoup plus loin. Mais je n'y ai accordé que peu d'attention, préférant jouir de l'instant présent. Cette sensation de vide était incroyablement merveilleuse. Jamais je n'avais encore ressenti cela auparavant. Et mon corps a enfin rencontré l'eau. Mais au lieu de ressentir un contact doux et frais, j'ai sombré dans les ténèbres. Le noir profond. Je tanguais, j'hésitais. C'était étrange. Et puis je ne me souviens plus. Le trou noir. Je me souviens juste avoir ouvert les yeux sur une chambre d'un blanc éclatant, tellement que j'en avais mal aux yeux. Une chambre d'hôpital il n'y avait aucun doute à avoir là dessus. Des voix criaient et semblaient ne pas avoir remarqué mon réveil. « je savais qu'elle était folle, je l'ai toujours dit, mais tu ne m'as jamais écoutée. » « ne dis pas cela elle n'est pas folle, elle est juste perturbée, ce n'est qu'une enfant Jean, elle n'a que huit ans, elle a besoin de temps. » « sauter par la fenêtre ! non mais tu te rends compte ? et demain elle se coupera les veines ? je refuse de m'occuper d'une folle. tu ne remarques pas que ces paroles n'ont aucun sens, qu'elle semble toujours dans un autre monde ? il faut l'interner ! » « je ne veux plus jamais t'entendre dire cela ! au pire je lui trouverai un psy mais plus jamais tu ne parleras d'elle ainsi, c'est compris ? » Un psychologue ? Je ne comprenais pas, je n'en avais pas besoin. « maman, papa, il s'est passé quoi ? » « rien ma chérie, rendors toi. » Elle déposa un doux baiser sur mon front tandis que mon père me regardait en fronçant les sourcils. J'ai préféré ne pas pensé à ce qu'il se disait, à ce qu'il comptait faire. J'ai préféré tomber dans les bras de Morphée pour m'évader encore une fois. Dès le début, mon père a senti que j'étais différente, et c'était pour cette raison qu'il ne m'a jamais acceptée, et sûrement aussi pour cette raison que j'ai l'impression qu'il ne m'a jamais aimée.

Un homme est venu nous voir, ou plutôt il est venu voir mes parents. Son sourire affectif m'a immédiatement mise en confiance, c'était comme s'il savait qui j'étais, ce que je ressentais, comme s'il me comprenait. Il était habillé étrangement, mais cela ne m'avait même pas choqué, contrairement à mes parents qui l'observaient comme si c'était une bête curieuse. Il avait demandé à parler à mes parents, en privé. Et moi, comme une petite enfant sage, je suis montée dans ma chambre, même si l'envie d'écouter à la porte me démangeait. Et puis après une heure qui me sembla interminable, ils sont sortis. Je me souviendrai toute ma vie de ce regard pesant sur moi, celui de mon père et des yeux brillants de ma mère. Comme si j'étais un monstre. « Qui es-tu ? »

Je pense que j'ai été la cause du divorce de mes parents. Ma mère m'a toujours aimée, même si je suis différente, mais pour mon père c'était différent. Je lui en veux pas, je l'aime mais j'aimerais juste qu'il m'aime aussi.

« C'est fini. » Je croyais avoir mal entendu, ou du moins il devait parler d'autre chose, cela ne pouvait pas être ce que je pensais, il ne pouvait pas s'agir de nous... C'était impossible. Je l'ai regardé sans bouger, j'étais comme paralysée, je ne comprenais pas, j'avais peur, peur de ce qu'il allait me dire. « Quoi ?! » Il s'éloignait de moi, je le sentais, il essayait de montrer qu'il était fort. J'avais l'impression qu'il n'en avait plus rien à foutre, que je ne comptais plus, qu'il m'avait déjà oubliée, remplacée. « J'en ai marre... Marre que tu fuies à chaque fois que j'essaye de te dire à quel point je t'aime, marre que tu reviennes en courant et me supplie de te pardonner pour recommencer ton cirque trois semaines plus tard. » J'ai baissé la tête, je ne le comprenais pas, cette relation nous convenait pourtant, enfin elle me convenait à moi plus qu'à lui. Il n'avait jamais aimé cette distance, il n'avait jamais compris pourquoi je voulais garder ma liberté. J'avais peur de l'amour. Peur d'entrer dans le monde des adultes, peur de me compliquer la vie. Il avait raison, je le savais au fond de moi mais je ne voulais pas l'admettre. « Non, écoute, je te promet que je vais changer. Je vais faire un effort... » Je le voulais, je le pensais, mais il savait tout comme moi que je n'en étais pas capable. J'étais capable de changer pendant quelques jours tout au plus, mais pas capable de changer complètement. Quand on est quelqu'un, il nous est impossible de devenir quelqu'un d'autre. Peut importe les promesses faites, ceux qui disent qu'ils peuvent changer mentent. J'étais folle de lui, complètement, mais je ne lui disais pas, je ne lui montrais pas, m'efforçant de ne pas m'attacher, mais c'était trop tard. Il faisait partie de moi, et il allait me quitter. J'avais envie de pleurer et de crier, mais je ne pouvais pas. « Non, tu ne feras pas d'efforts. Tu dis ça, mais dans un mois, tu partiras en courant, comme d'habitude. Cette peur de l'engagement, j'en peux plus ! C'est pas sain pour nous deux. » J'étais perdue, mon esprit s'embrouillait, des images se bousculaient dans ma tête. Je ne voulais pas que cela se finisse, je voulais lui dire que je l'aimais, que je voulais qu'il reste, que l'on continue, je voulais lui dire qu'il était la personne qui comptait le plus pour moi, mais rien n'est sorti. Ce n'était pas la première fois que j'avais l'impression de décevoir quelqu'un. Cette sensation horrible me rappelait celle que j'avais avec mon peur quand il me regardait en soupirant. « Au revoir, Stanley. » Et il partit, et moi je me mis à pleurer.

Couchée dans l'herbe, j'observais les étoiles, seule. Il y avait cette soirée clandestine dans le dortoir des Serpentards, mais pour une fois je n'avais vraiment aucune envie d'y aller. Je préférais passer ma soirée à rêver, les yeux perdus dans le bleu de la nuit. J'étais prête à m'endormir dans le froid quand j'ai commencé à sentir une présence à mes côtés. Mes yeux se sont lentement ouverts pour tomber face à des yeux d'un bleu incroyable. Je me suis reculée, effrayée par la proximité de cet homme que je ne connaissais que de nom : Tristan. Toujours solitaire, Tristan avait quelque chose de mystérieux sur le visage, comme si quelque chose l'avait marqué. C'était un garçon discret qui ne parlait jamais pour ne rien dire. Il semblait hautain, comme s'il se sentait supérieur aux autres, plus intelligent. J'avais toujours eu peur de lui, quand ses yeux se posaient sur moi, j'avais l'impression d'être scrutée, observée, comme s'il surveillait les moindre de mes gestes. Mais il semblait différent ce soir, et ces prunelles témoignaient d'une grande tendresse. « Qu'est-ce que tu fais ? » Il se mit à rire, j'avais l'impression de n'être qu'un jouet, de l'amuser. « Je fais comme toi, je regarde les étoiles. » « Ce n'étaient pas les étoiles que tu regardais il me semble. » « En effet. » Je me suis reculée, pour ne pas avoir à subir son regard insistant plus longtemps, il me mettait mal à l'aise. « Est-ce que je te ferais peur par hasard ? » « Peut-être, je ne sais pas. » « Tu n'as pas à avoir peur tu sais. » Je n'ai rien dit, me contentant de le regarder étrangement. Je ne comprenais pas son comportement. J'avais l'impression d'être à sa merci, d'être sa proie, et pourtant ses yeux semblaient me dire le contraire. « Tu me plais Stanley. » J'ai rougis, mais heureusement, il ne pouvait le voir. Si c'était le cas, j'étais sûre qu'il aurait ri de moi. Ses doigts se sont déposés sur les miens, ce qui me fit frissonner avant que je ne retire rapidement ma main. C'était une situation trop étrange et je ne pouvais pas rester, je me suis donc levée pour partir ou plutôt m'enfuir après lui avoir adressé quelques mots en vitesse. « Je ... Il se fait tard et je pense que je devrais rentrer avant de me faire prendre. Tu devrais faire pareil. »

MERCI A VOUS

CANDICE
merci beaucoup

merci beaucoup, chace

KAREN, LA PERFECTION
zut, j'avais pas vu
et bien je vais lui envoyer un mp pour qu'on s'arrange et je vous dirai ce qu'il en est

FICHE TERMINÉE ET SECRET ENVOYÉ
désolée du double post

et pour ce qui est de l'autre leighton, je n'ai pas eu de nouvelles

MERCI !
HEUREUSE QU'ELLE TE CONVIENNE

merci beaucoup

Stanley Cavill a écrit:

Âge : Dix-sept ans et dix-huit dans deux moi, bientôt j'aurai la liberté de boire de la vodka non je ne suis pas une alcoolique (a)


Je sens qu'on va bien s'entendre -sbaaf-

un autre adepte de la vodka
cassidy est magnifique

Stanley Cavill a écrit:

un autre adepte de la vodka

OH OUI faudra que tu m'en fasses part
j'imagine que c'est en rapport avec willow et wilfried (a)

pas de problème, merci