INGLORIOUS ELIE. (terminée)

TUMBLR.


ELIEZER HANOVER.
Citation.

CURRICULUM VITAE
✎ Inscrivez ici les différentes informations essentielles sur votre personnage. Cependant, vous avez aussi la possibilité, pour ceux qui aiment rédiger, d'écrire tout ça sous forme de petit texte introductif, tant que toutes les informations y sont.
Nom : Hanover, comme la maison de Hanovre, une famille royale ayant régné sur l'Allemagne et l'Angleterre. Pas d'excitation, nous n'avons pas de prince à Poudlard, c'est un pur hasard, même si l'on peut qualifier les Hanover d'aristocrates. Prénoms : Eliezer, prénom hébraïque dérivé du prophète Elie, qui est d'ailleurs le surnom le plus courant du jeune homme. Date et lieu de naissance : Eliezer est né un vingt-cinq décembre - tu parles d'un cadeau - mille neuf cent quatre-vingt douze, à Varsovie, en Pologne. Année d'étude : Eliezer est en huitième année d'étude à Poudlard - on se demande comment il y est parvenu. Origines : Eliezer est d'origine polonaise par sa mère, tandis que son père est anglais depuis des générations. Il est donc anglo-polonais. Maison : Le côté artisite déjanté et déluré assurait forcément à Eliezer sa place chez les Poufsouffle, maison dont il est très fier d'ailleurs. Patronus : Le Patronus d'Elie prend la forme d'un paon. Il est comme Eliezer, toujours en train de vouloir épater la galerie avec ses pitreries et sa beauté, mais au fond, incapable de voler. Baguette : La baguette d'Elie est faite en bois d'If, arbre de l'immortalité. Elle contient une plume de Phoenix, et mesure vingt-quatre centimètres. Sur le manche en argent est gravé la devise des Hanover : Pouvoir et Sagesse. Statut du sang : Elie est de sang pur, mais s'en fiche. Ca n'a aucune importance pour lui. Niveau scolaire : Sincèrement, ça dépend des jours. Les jours pairs, il est bon en sortilèges et le lendemain, il est incapable de réaliser un bon Wingardium Leviosa. Il faut dire qu'Eliezer est particulièrement distrait. La seule matière où est il vraiment bon, ce sont les Arts Appliqués en magie. Orientation sexuelle : On se calme. Elie, il aime tout le monde. Les beaux mecs comme les jolies filles. Un peu plus les beaux mecs, cependant. Mais si ses parents sont tolérants avec ses facéties, il doute qu'ils soient ravis que leur fils unique leur ramène un copain. Donc il est discret sur ce point. Options choisies : Eliezer a appris à dessiner et à prendre des photos avant de savoir écrire. Il paraissait donc normal qu'il prenne les Arts magiques appliqués. En seconde option, il a pris Divination. Il trouve ça fun, même s'il ne pige rien.

ACT LIKE AN IMBECILE
✎ Nous vous demanderons de répondre aux questions posées ci-dessous, ce qui nous aidera par la suite à mieux cerner votre personnage. Vous pouvez rédiger vos réponses à la première personne, du point de vue de votre personnage, mais nous vous demanderons des réponses un minimum développées.

Quel est ton épouvantard, et pour quelle raison ? La plus grande peur d'Elie, c'est de devenir un vieil homme bedonnant, ridé, chauve, vivant reclus dans son manoir entouré de têtes de cerfs empaillés. Il a peur de perdre sa fantaisie, sa folie douce, son envie de vivre ses rêves. Comme tous les jeunes, il a peur de devenir adulte, mais chez lui, c'est très prononcé. Son épouvantard prendrait donc sa propre forme, mais vieilli d'une bonne soixantaine d'années, assis dans un fauteuil, le regard vide et désabusé. Le regard d'un homme qui n'a pas pu vivre sa vie. Que verrais-tu si tu te tenais devant le miroir du Rised ? Il se verrait lui-même. Il serait reporter à la Gazette du Sorcier, vivant de sa plume et de ses photos. Il aurait gagné de nombreux prix artistiques prestigieux. En arrière-fond, il verrait l’appartement dont il rêve, rempli de bric-à-brac, aussi bien moldu que sorcier, un endroit chaleureux et convivial. D’ailleurs, une bande d’amis serait assise sur le canapé, buvant un délicieux Whisky Pur feu. C’est ça qu’Eliezer désire le plus. Une vie simple, mais où son talent serait reconnu. Plutôt fêtes clandestines dans les dortoirs ou devoirs à la bibliothèque ? Eliezer était né pour la fête et la fête n’attendait qu’Elie. Ce garçon déprime si on le traîne à la bibliothèque, alors qu’entre deux verres de whisky pur feu, il est parfaitement dans son élément. Il adore prendre des photos de ces évènements, et consigner ses impressions d’après-fête dans des carnets – il dit en riant que l’alcool l’inspire. Alors que la bibliothèque et les rouleaux de parchemins seraient plutôt du genre à l’endormir. Quelle est ta matière préférée ? détestée ? Sans aucun doute, les cours qu’Elie ne sécherait pour rien au monde, ce sont les arts magiques appliqués. Ca le passionne, c’est exactement ce qu’il voudrait faire plus tard. Il adore particulièrement la photo – d’ailleurs, il photographie tout ce qui bouge ou ne bouge pas. Quand à sa matière détestée … Les potions, sans aucun doute. Ah ça, il ne peut pas supporter. Déjà, avoir cours dans un cachot, il a du mal. Lui, il lui faut du soleil (bon, en Ecosse, c’est moyen), de l’air ! Mais en plus, il n’arrive à rien et sa potion se retrouve toujours verte alors qu’elle devrait être orange. Quelle est la plus grosse bêtise que tu aies faite ? Il y en a tellement. Il a cassé la montre magique de son grand-père quand il était petit. Il a fait exploser la vaisselle de Tante Ellen à l’âge de dix ans – première manifestation de ses pouvoirs magiques – lors d’un dîner de famille annuel. A Poudlard, en troisième année, il a fait exploser des Bombabouses sur des premières années terrifiées seulement quelques jours après la rentrée. En grandissant, les bêtises sont devenues moins racontables. Il a failli se tuer en escaladant la tour d’Astronomie – suite d’un pari arrosé, en cinquième année. Et il ne se rappelle absolument pas de sa première relation sexuelle, en sixième année, ce qu’il regrette un peu.Quelle est ta confiserie de Honeydukes préférée ? TOUTES ! Elie est un fan de sucreries. Il pourrait vivre à Honeydukes, tant pis pour les kilos et les caries. Il a toujours une Dragée-Surprise ou une Chocogrenouille dans son sac, d’ailleurs. Que penses-tu de la Radio Pirate ? C’est fun. Et effrayant à la fois. Car si Elie a une tête d’ange, ce n’est pas s’il n’avait rien à cacher. Bon, il n’a tué personne. Mais il n’aimerait pas que ses secrets soient révélés à tout Poudlard.

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✎ La dernière partie à rédiger, la plus pénible pour certain, mais qui reste tout de même importante. Quelques anecdotes suffiront, mais vous pouvez rédiger cette partie sous la forme qu'il vous plaît, en relatant quelques passages importants de la vie de votre personnage. Nous demandons un minimum de trente lignes.

GIGGLING MUGGLE MONSTER
Pseudo/Prénom : jonas.
Âge : dix-sept ans.
Avatar : (...)
Commentaire, dédicace : Ce forum est magnifique. Je suis vraiment fan, et j'espère qu'il vivra longtemps.

juillet 2o1o, 3:o7pm, london, eliezer's bedroom.

« Eliezer ! Qu’est-ce que tu fais ? » La voix mélodieuse et aristocratique de sa mère retentit dans la belle demeure qu’ils occupaient dans les quartiers chics de Londres. Eliezer poussa un profond soupir – pourquoi fallait-il toujours que sa mère pose cette question fatidique quand il ne faisait rien, et qu’il en était parfaitement heureux ? « Rien, m’man. » répondit-il, allongé sur son lit, contemplant avec bonheur son plafond couvert de photos et d’affiches de Quidditch. « Et bien, tâche de t’occuper, répliqua la voix cristalline qui provenait du salon, car mon fils, rappelle-toi que l’oisiveté est mère de tous les vices. » Ouais ouais, il était au courant, merci bien. Eliezer répondit par un grognement inaudible et se vautra encore plus dans son lit. Mais la remarque de sa mère avait semé en lui le désir de faire quelque chose de son après-midi de juillet, pluvieuse et lourde comme seule Londres en avait le secret. D’un geste, il attrapa sur son bureau un carnet de cuir qu’on lui avait ramené de Venise, et se saisit d’une plume qui traînait sur sa table de chevet. Il se mit à la mordiller pensivement, amusé par le chatouillis qu’elle provoqua sur le bout de sa langue, puis la trempa dans un pot d’encre posé à même le sol, et commença à écrire.

Je suis Eliezer et j’ai dix-huit ans.

Il s’arrêta presque aussitôt. Oui, ça lui paraissait être une bonne introduction. Satisfait, il transforma les points de ses i en petites fleurs. Eliezer adorait dessiner des petites fleurs, des bateaux, des bonhommes, même sur les devoirs qu’il rendait à Poudlard, ce qui lui valait les interrogations ironiques de ses professeurs. Retrempant la plume dans l’encre, la laissant en l’air pendant quelques instants – et deux gouttes d’encre vinrent salir son jean -, il parut réfléchir intensivement, ses yeux sombres fixant le néant chaotique de sa chambre. Puis tel un chevalier, il abattit sa plume sur la papier et se remit à noircir frénétiquement la page.

Je suis Eliezer et j’ai dix-huit ans. Je suis né ici même, dans cette maison, parce que je suis arrivé comme une vraie petite bombe ! Ma mère a pas eu le temps d’aller jusqu’à Sainte-Mangouste. Moi, je trouve ça drôle. Elle, non, surtout qu’elle a accouché sur son canapé qui venait de France. Enfance banale, rien à dire. De toutes façons, j’m’en souviens pas beaucoup, parce que j’ai une mémoire de poisson rouge. Heureusement, il y a la photo. Mon premier, c’était pour mes six ans. Un cadeau de maman. Ca a fait tilt en moi, comme une bougie qui s’allume. Après celui-là, j’ai eu plein d’appareils photos. Des moldus et des sorciers. C’est cool, les deux. Enfin je pense.

Il stoppa un instant, car l’odeur délicieuse du cake aux prunes de sa mère venait d’envahir toute la maison. Il sauta de son lit, abandonnant carnet et plume, et renversant le pot à encre. Le tapis et ses chaussettes se retrouvèrent constellés d’une mare violette. Eliezer n’y prêta pas attention une seconde. Il descendit l’escalier en colimaçon à toute allure, et surgit dans la cuisine, où sa mère s’affairait à sortir du four un cake à l’air délicieusement appétissant. « Eliezer, peux-tu me dire ce que t’ont fait tes chaussettes pour qu’elles méritent un tel sort ? » Trop occupé à mordre dans une pomme et à se servir une énorme part de cake, Eliezer ne répondit pas tout de suite. Puis, la première bouchée avalée, il répliqua avec un sourire : « C’pas grave, m’man. Elles sont belles comme ça, tu trouves pas ? » « Non, pas vraiment. » soupira l’élégante Mrs Hanover, qui prit à son tour une part de cake et disparut dans le salon armée d’un livre et du gâteau, après avoir jeté un regard mi-tendre, mi-désespéré à son fils unique. Ce dernier remonta aussi sec dans sa chambre, pourvu de friandises pour le reste de l’après-midi, et reprit le récit de sa vie – certes, un peu ellipsé.

Bref. A onze, je suis entré à Poudlard. Et j’ai kiffé. Je me suis retrouvé à Poufsouffle, alors que mon père avait été à Serpentard, et ma mère, à Durmstrang, s’était retrouvée dans la maison qui correspondrait à Serdaigle, j’crois. Mais de toutes façons, je savais bien que je serais jamais au Ministère ou ce genre de salades. Moi, j’veux être un artiste. Ou un journaliste. Enfin, quelque chose dans le genre. Voilà quoi. Mes profs ont vite compris que je serais pas le super élève avec un niveau de folie, mais plutôt le type qui roupille au fond et qui rend son devoir de potions à son prof de botanique et inversement. J’ai souvent été en retenue, parce que je faisais exploser des Bombabouses, ou des trucs comme ça. Ca m’a toujours fait hurler de rire, va savoir pourquoi.

Sourire. Eliezer mordit dans un bout de cake et faillit s’étouffer. Après que son visage ait atteint une ravissante nuance de violet, il put reprendre sa respiration, avaler son cake, et recommencer à écrire.

Puis sont arrivées les fêtes, et LE WHISKY MON POTE ! Grande découverte devant l’éternel. C’est mon activité favorite, après la photo, sérieusement. Ou en même temps que la photo, même. J’aime les deux. Je devrais faire photographe d’orgies, ça me conviendrait parfaitement. Bon, à cause de ça, j’ai eu des ennuis avec les profs, surtout quand j’ai failli faire le saut de l’ange en escaladant la Tour d’Astronomie, mais globalement, c’est cool, vraiment cool. Faudrait que j’arrête de dire cool. Je le dis tout le temps. Bon. Bref. Passons. Y a eu des filles, et y a eu des garçons. Je me souviens plus avec quel sexe j’ai perdu ma virginité, mais toujours est-il qu’un beau matin de sixième année– il devait être cinq heures du mat’ en fait – j’étais totalement à poil dans un lit, et je me souvenais absolument plus de ce qui s’était passé. Je regrette un peu. Enfin tant pis. De toutes façons, je m’en fous, parce que …

Eliezer laissa sa plume en suspens, hésitant. Son cœur se mit à battre plus fort. C’était idiot, il le savait. Mais il ne pouvait pas le garder plus longtemps pour lui. Mais ce qu’il s’apprêtait à écrire méritait une autre page, une page vierge, et une autre encre, l’encre dorée, sa plus belle encre, celle qu’il avait acheté à prix d’or à Venise, aussi, tiens. Il tourna donc la page qu’il avait noirci, sans d’ailleurs attendre qu’elle sèche, et se mit à tracer, fébrile, des lettres rendues tremblantes par l’amour.

Il est beau, terriblement beau. Je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas le repérer avant, mais toujours est-il que la première fois que je l’ai vu, c’était quelques temps avant la fin de l’année. Je crois qu’il est à Serdaigle. Son visage est comme celui des anges dans les églises. Il rayonne. Mais il est sombre aussi, et au fond de ses yeux, on lit des choses secrètes comme la page d’un livre interdit. J’ai posé les yeux sur lui, et c’en était fini de moi. Je me consume pour lui. Putain, oui, je suis amoureux d’un parfait inconnu. Je l’aime, je l’aime, je l’aime.

Les trois derniers mots avaient été écrits rageusement, presque jetés sur le papier comme quelque chose dont on voulait se débarrasser. Eliezer fixa les lettres dorées et fines, écrites comme upar un temps de grand vent. Mais il n’y avait qu’une seule tempête. Celle qui agitait le jeune Poufsouffle d’un amour brûlant, d’une passion pure comme seuls les adolescents en avaient le pouvoir. Oui, il aimait, il aimait comme il n’avait jamais aimé. Et il souffrait. Comme tout le monde. Retombant sur son lit, dissimulant le carnet sous son matelas et laissant glissant la plume sur le sol, il ferma les yeux. Bientôt, il serait à Poudlard. Il plongerait à nouveau dans l’ivresse de la vie secrète de l’école, espérant pouvoir croiser à nouveau son inconnu. Et effleurer son rêve du bout des doigts.

FRANCISCO Et dans ce cas, j'exige un lien -sbaaaf-
Bienvenue, bonne chance pour ta fiche ;D

merci beaucoup.
je suis pas fan de dianna, mais bon sang, sur ton ava ... elle a un sourire juste parfait. elle est trop belle là, c'est dingue.

j'ai oublié de demander, mais est-il possible de réserver francisco ?

Oh, Léa Seydoux ! C'est la première fois que je la vois en RP.
merci beaucoup en tout cas, jolie dame.

FRANCISCO
un de mes mannequins préférés avec cesar casier.
bienvenue sur le forum