WILLY&NATH ♣ I need you now more than ever

TUMBLR

WILLOW & NATHANAËL
I NEED YOU NOW MORE THAN EVER

Lorsque je me levais ce matin-là, je ne pu m'empêcher de pousser un soupir. Aujourd'hui, j'avais un match de Quidditch. Habituellement, cela me réjouissait puisque j'adorais ce sport mais aujourd'hui, c'était différent. Ce n'était pas un match comme les autres. Serpentard contre Serdaigle, voilà les deux équipes qui allaient s'affronter aujourd'hui. Un nouveau soupir. J'espérais la voir aujourd'hui. Elle ne m'avait toujours pas pardonné mon comportement et j'espérais vraiment fini par la convaincre. Willow Reagan. Willy. Pourquoi avais-je fais le con ? Pourquoi coucher avec sa meilleure amie, la tromper durant un an et demi ? Parce que je croyais être amoureux de Rachael. Je ne l'étais pas. Je ne l'avais jamais vraiment été. Ca n'était qu'un moyen de fuir la réalité, de ne pas admettre que j'aimais Willy. C'était une grosse connerie, j'étais en train de tout perdre. Jetant un coup d'œil à ma montre, je me rendis compte qu'il était déjà bien tard et que j'allais devoir me lever. Je n'allais pas me rendre sur le terrain avec le ventre vide ; il fallait d'abord que j'aille avaler quelque chose.

« Prêt pour le match, Nathanaël ? » Je levais les yeux et j'aperçus un groupe de filles de la même maison que moi que je n'avais jamais vu de l'autre côté de la table. Je fronçais les sourcils. Encore des groupies ? Décidément, ça n'arrêtait pas... Et avec toutes ces filles qui me tournaient autour, j'avais encore le temps de me prendre la tête pour la même demoiselle. « Ouais... » Je n'avais rien de plus à ajouter. Je ne connaissait pas ces filles, elles ne m'intéressaient pas. Aucune fille ne m'intéressait en ce moment, d'ailleurs. C'était affolant. Pour moi qui était réputé en tant que coureur de jupon... Ca faisait une sacré différence. « On compte sur toi ! » Je ne répondis pas, perdu dans mes pensées. Comment avais-je pu tomber aussi bas ? C'était impensable. Si on m'avait dit qu'un jour je serais dans cet état-là après avoir brisé le cœur d'une fille, je ne l'aurais pas cru. Vraiment, dans quel état pitoyable j'étais. Je ne me reconnaissais plus. Bien sûr, quand je me regardais dans un miroir j'étais toujours le même, mais à l'intérieur de moi j'étais... différent. Complètement différent. Qu'étais devenu le Serpentard que j'étais quelques années en arrière ? Si je repassais l'épreuve du Choixpeau aujourd'hui, il m'enverrais dans aucun doute à Poufsouffle. J'avais l'impression de ne plus être digne d'être à Serpentard.
Voyant que je ne répondais pas, les filles s'en allèrent en pouffant. Ouais c'est ça. Rigolez, rigolez. Pensez que vous me plaisez. Ce n'est pas le cas. Vous n'êtes pas à la hauteur. Personne ne l'était. Personne.
Voyant que la majorité des élèves quittaient déjà la grande salle, je me levais. Il fallait que je me dépêche où j'allais arriver en retard, moi qui était habituellement ponctuel. Un capitaine en retard, on aura tout vu. D'autant plus que j'allais devoir donner des directives très strictes à mon équipe : écrabouiller Serdaigle. Je détestais le capitaine adverse et je savais qu'il ne me portait pas dans son coeur non plus. C'était son ami. A Willy. Je crois - non en fait j'en suis sûr - qu'il m'en veut pour ce que je lui ai fais. Bon, mais nos disputes durent depuis ma première année ici ; je n'ai jamais pu le supporter. Nous avons toujours été rivaux, en tout. Et il est rare que nous n'en venions pas au main lorsque nous nous voyons. Surtout ces derniers temps; il semble savoir quelque chose que j'ignore et cela m'énerve encore plus. Bref.

Je marchais lentement sous le soleil, en direction du terrain de Quidditch. Il y avait foule ; tout le monde était en train de monter dans les gradins. Déjà. J'observais la foule tout en continuant à marcher et soudainement, mon cœur rata un battement. Elle était là; j'aurais pu reconnaître sa chevelure, sa silhouette entre mille. Etait-elle là pour supporter Serpentard, comme elle le faisait du temps où nous étions encore ensemble ? J'en doutais, mais je ne pouvais m'empêcher d'espérer. Je savais qu'elle ne m'avait pas pardonné. Je savais qu'elle ne voulait plus entendre parler de moi. Pourtant, c'est dans sa direction que je m'élançais au lieu de prendre celle des vestiaires. Les battements de mon coeur s'accélérèrent lorsque j'arrivais derrière elle. « Hey, Willow. » Je me tus. Je ne savais pas quoi ajouter d'autre. Parler du "bon" vieux temps ? Sûrement pas, ce n'était pas une bonne idée. Lui demander si ça allait ? Elle devait être en pleine forme en face de l'homme qui lui avait menti durant près d'un an et demi... Non, je ne pouvais pas poser cette question. Non, je ne savais vraiment pas quoi dire. Tout ce que je pouvais me contenter de faire était d'attendre qu'elle me réponde. A condition qu'elle le fasse, bien entendu.

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« Allez! Ne sois pas si nerveux. Vous allez tout déchirer, je le sens. » Raf' ne savait vraiment pas quoi me répondre. Il souriait malicieusement et me dit enfin « Pourtant, les années précédentes, tu avais envie que je perde. » Un rire sortit de ma bouche. Bon d'accord c'est vrai que l'année dernière je n'étais pas pour que son équipe gagne, mais il ne m'en voulait pas, il savait que c'était l'amour qui me faisait dire des choses comme celles ci. Je lui avais répondue toute souriante et amusée. « Oui, tu as raison. Mais les choses ont bien changées depuis, et je regrette de ne pas t'avoir accordée plus d'attention. Maintenant, nous allons enfin rattraper le temps perdu. » Je pris alors mon meilleur ami dans mes bras et le serra bien fort contre moi. Il le méritait, il était vraiment adorable avec moi et très attentionné, même quand j'étais en couple avec son pire ennemi. D'ailleurs, avant notre rupture, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi ils se détestaient vraiment. Même lorsque j'étais en couple avec Nath', ils se détestaient déjà et depuis j'ai bien envie d'en connaître les raisons. Chose qui ne m'avais pas traversé l'esprit avant. Une fois ma discussion avec Raf' terminée, je m'étais dirigée dehors. Depuis que je suis préfète, en septième année j'ai été élue préfète de Serdaigle, et aussi depuis que je suis préfète en chef, j'ai toujours aidé pour installer les gradins, ainsi que les sponsors pour les matchs de Quidditch. Etant fan de ce sport, je ne pouvais qu'apporter mon aide, et d'ailleurs beaucoup me disait qu'elle était précieuse. Quelques fois Nath' venait nous aider avant de jouer... mais cette année il ne venait pas apparemment. A mon avis, il savait que je n'allais pas louper l'occasion de monter les gradins comme chaque années, et il n'a pas voulu se mélanger à la foule en ma présence. Tant pis, j'étais bien mieux sans lui de toute manière. C'est là que je vis arriver quelques groupies vers moi. Une des filles s'arrêta net devant moi et me dit avec un sourire plus que pitoyable, une vraie lèche botte celle ci. « Oh, Mademoiselle Reagan. Heureuse de vous voir encore là cette année. Avez-vous besoin de notre aide ? » J'ai croisé les bras contre ma poitrine et j'ai arqué un sourcil assez méfiant puis lui a répondu « Ecoutes, non merci je n'ai pas besoin d'aide. Et tu es en neuvième année si je ne m'abuse, alors évites de me vouvoyer s'il te plait. Je suis préfète en chef, pas professeur ni ministre du ministère. » « C'est d'accord Willow. Au fait, nous avons appris pour ta séparation avec Nathanaël, et nous en sommes profondément désolées. Vous qui formiez un si beau couple. » Un soupire sortit de ma bouche. Non mais franchement, comme si j'allais croire qu'elles étaient désolées pour moi et Nath'. Alors qu'elles lui courent après depuis tant d'années. « Vous avez le champ libre maintenant. Profitez en. » Dis-je à contre coeur. Oui à contre cœur, parce que malgré tout, ce garçon était censé être celui qui allait être le père de mes enfants, mon mari... donc c'est sur que cela fais toujours un petit pincement au cœur. Elles étaient partis, les yeux pleins d'espoirs, bon, tant mieux pour elles, mais je ne pense pas que ce genre de filles soient au goût de Nathanaël, du moins, je n’en suis pas certaine et puis plus rien ne m’étonnerais maintenant venant de lui.
Tout à coup, ce fut comme un coup de vent qui venait s’écraser contre mon visage… Il était derrière moi et je sentais sa présence, c’était bizarre comme sensation et je ne saurais l’expliquer. De toute manière, nous sommes liés et ça pour longtemps encore malheureusement. C’est à ce moment que mes pensées disaient vraies. J’étais figée, je ne bougeais plus. Il m’avait alors dit « Hey, Willow. ». Je n’avais pas vraiment de dire et de répondre quoi que ce soit, mais c’était plus fort que moi. Il me dégoutait. Rien qu’entendre sa voix me faisait dresser les cheveux sur la tête. Je lui dis alors en me retournant et passant près de lui en le bousculant. « Casses toi, lâches moi les Bask’ ». D’accord, j’y étais allé peut-être un peu fort, mais franchement, il le méritait. Qu’est ce que j’aurais du lui dire d’autre ?! Il ne méritait même pas un simple « salut ou bonjour » même pas un regard de ma part. Il n’était plus rien, du moins j’essayais de me dire qu’il n’était plus rien et ça c’était le plus dur. Puis j’ai stoppé ma marche, et resta là, le temps d’une réponse de sa part, oui parce que malgré tout sa voix, son odeur, son sourire et son regard envers moi me manquait… Mais non, non, non… il fallait que je me sortes ça de la tête. Cet enfoiré, cet abruti, il ne méritait même pas que je pense ça de lui.

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« Casses toi, lâches moi les Bask’ » Ca commençait bien. Bon, au moins elle m'avait répondu alors qu'elle aurait très bien pu m'ignorer. Mais quand même... Peut-être avais-je trop d'espoir. J'avais joué au con, je récoltais ce que j'avais semé. C'était aussi simple que cela. Et pourtant, je souffrais comme jamais.
En parlant, elle avait avancé dans ma direction, me bousculant. Je pensais qu'elle était partie, mais en me retournait j'aperçus qu'elle était toujours-là ; elle s'était arrêtée et me tournait le dos. Pourquoi s'était-elle arrêtée ? Qu'attendait-elle de moi ? Si seulement je le savais... Malheureusement, il n'en était rien. J'étais dans le brouillard total. La plupart des filles étaient faciles à décrypter. Pas Willow. Elle était bien plus complexe que les autres, bien plus difficile à comprendre. C'est dans ces moments-là qu'un dictionnaire qui permettrait de comprendre les filles serait utile.
Je me retint un soupir. Cette situation était horrible. Elle était là, à quelques mètres de moi seulement et j'avais pourtant l'impression qu'elle était si loin. Je détestais cette impression. Je détestais le moi d'autrefois, celui qui pensait ne pas aimer Willy et qui était allé voir ailleurs. Pourquoi avais-je fais ça ? J'étais en train de tout perdre. Vraiment tout. J'avalais difficilement ma salive et je ne quittais pas celle que j'aimais des yeux. Même de dos, elle était belle. J'avais envie de la prendre dans mes bras, de la caresser, de l'embrasser. Mais comment le prendrait-elle si je le faisais ? Mal sans doute. Elle me repousserait, m'insulterait. Sûrement. Je ne vois pas d'autre choix. Je quittais sa silhouette pour baisser les yeux sur le sol. Putain, mais quel con ! J'avais tellement fait souffrir la seule qui compte pou moi aujourd'hui et je ne savais même pas quoi faire. J'étais totalement impuissant. « Je... » Quoi, par la barbe de Merlin ? Je savais qu'il fallait que je dise quelque chose. Cependant, je ne savais pas quoi. Quels mots étaient les bons ? Je n'en avais aucune idée. « Je suis désolé... » Que pouvais-je dire d'autre ? Je n'en avais aucune idée. Je ne savais même pas si Willy accepterait mes excuses. Je l'aimais tellement. Il était dur d'être ainsi, face à elle, sans savoir quoi lui dire, quoi faire. J'étais vraiment une belle ordure. Je fis quelques pas en direction de la jolie blonde et je repris : « Willow... Willy, j'ai besoin de toi, tu sais. » Qu'était donc devenu l'homme fier et orgueilleux que j'étais ? Aucune idée et à vrai dire, je m'en fichais pas mal à ce moment-là. J'avais changé, je m'étais métamorphosé. Je n'étais plus le même. Alos au diable ma fierté. Elle n'avait pas lieu d'être lorsque j'étais avec Willow et il me fallait bien en faire abstraction si je voulais réussir à arranger les choses avec elle. « Regarde-moi s'il te plait. » Une nouvelle pause avant de reprendre : « Regarde-moi et dis-moi que tu ne m'aimes plus. » Là, j'étais vraiment tombé bien bas. Que penseraient mes potes s'ils me voyaient comme ça ? Ils se moqueraient de moi sans aucun doute. Tant pis. Je voulais Willow. Je voulais qu'elle me pardonne, qu'elle arrête de m'en vouloir. Je me fichais de ce que pourraient bien penser mes amis s'ils me voyaient ainsi. J'avais passé tellement de bon moment en compagnie de Willy. Tout ceci me manquait. Je voulais l'entendre rire à nouveau, de sentir ses yeux poser sur moi. Je voulais avoir de longues conversations avec elles, de parler de n'importe quoi jusqu'à une heure avancée de la nuit. Je voulais m'échapper du château en pleine nuit, pour la retrouver au bord du lac. J'avais envie de sentir ses lèvres sur les miennes une fois encore. J'avais envie de redécouvrir son corps. Je voulais tout simplement qu'elle me revienne. Et je crois que c'était trop demander.

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Encore une fois, je ne savais plus trop où j'en étais. Je ne le comprenais plus. Un jour, il m'aimait, l'autre il dit qu'il ne m'a jamais aimé, et encore un autre, il dit qu'il a fait une erreur, qu'il est fou de moi et qu'il me veut ?! Mais comment pouvoir pardonner une chose pareil ? La trahison; je me suis faite la promesse que si un jour quelqu'un que j'aimais me trahissais, jamais il ne pourrait plus avoir confiance en moi. Et c'est ce qui arrive en ce moment. Il m'a trahi et jamais je ne reviendrais, jamais. A cause de lui, j'ai perdu confiance en moi, j'ai perdu ma meilleure amie, du moins ça je ne le regrette pas car il m'a bien fait ouvrir les yeux. En ce moment rien, ou presque rien, n'allait. Du moins, tout est devenu si simple depuis que je l'ai rencontré, Wilfried. Il a tellement été attentionné avec moi, tellement protecteur... J'avais besoin de ça.... ça m'avait manqué et pourtant, aujourd'hui, je me refuse de le revoir. Je suis restée tellement de temps en couple avec Nath' que j'ai encore l'impression de le tromper en quelque sorte et cela m'est interdit, du moins non, mais moi je me l'interdis et je ne sais pas pourquoi. Il me regarde alors l'air béa. Il n'allait pas bien et c'était bien fait pour lui. Je ne pouvais que en être contente de le voir souffrir comme il m'avait fait souffrir. « Je... » J'ai arquais un sourcil... Il n'arrivait pas a aller plus loin dans ce qu'il voulait dire... « Je suis désolé... » Il se fichait royalement de moi, c'est pas vrai. Il fallait qu'il remue le couteau dans la plaie. Cela lui faisait plaisir de me voir souffrir encore et encore ou quoi. Je ne dis rien et soupira fortement... Il m'exaspérait, je n'avais qu'une envie c'était de lui mettre ma main dans sa tronche, et je pèse mes mots. C'est alors qu'il continua toujours aussi faible et triste « Willow... Willy, j'ai besoin de toi, tu sais. ». Il été peut-être triste, mais moi j'étais anéantie. L'homme fier et viril se transformait petit à petit en mauviette. Attendrissant ? Non pas du tout. « Regarde-moi s'il te plait. » Je fuyais son regard, oui je n'arrivais pas à le regarder dans les yeux. Cela m'était insurmontable. Je n'ai jamais caché mes peurs, mes faiblesses, mes sentiments, mais aujourd'hui c'était l'inverse. Il continua alors, avant de m'achever sur place avec cette phrase, qui pour moi était une colle « Regarde-moi et dis-moi que tu ne m'aimes plus. ». Que faire dans des moments pareils ? J'ai toujours été adorable avec lui, je lui es donné tout mon amour, toute ma confiance, je l'ai aimé comme jamais personne ne pourra l'aimer. Je parlais de lui souvent à mes grand-parents et à mon père qui d'ailleurs l'a trouvé très charmant lorsqu'il l'a rencontré. Nous passions nos vacances d'été chez la famille de l'un et de l'autre. Nous étions comme les deux doigts de la main. Etant préfète, je l'ai toujours défendue comme jamais. J'allais supporter son équipe alors que mon meilleur ami faisait partie de l'autre, jamais je n'ai encouragé mon équipe en Quidditch, non parce que pour moi c'était lui qui allait gagner, il était le meilleur, c'était un dieu vivant pour moi. Toutes les filles le voulait, mais c'est envers moi que son coeur a penché, du moins je le pensais... Tout ça c'était terminé. Il n'y avait plus rien en moi que de la haine. J'ai alors posé franchement mes yeux dans les siens, et rien qu'à mon regard froid et haineux, ce qui n'est pas dans mes habitudes, il a du tout de suite comprendre ce que je pensais sincèrement. « Comment oses-tu venir me parler ? Comment oses-tu me dire que tu as besoin de moi ? Qu'est ce qui a ?! Tu as des problèmes de couple avec ta petite Rachaël ? Désolée, mais je ne peux rien pour vous. » Les larmes ne sortaient pas. Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, moi qui était si sensible. Je m'avançais petit à petit vers lui mon index pointé en sa direction. « Tu m'as trahi, tu as abusé de moi, de ma confiance, de mes sentiments. Tu m'as trompé avec la deuxième personne qui comptait le plus pour moi. MAIS COMMENT T'AS PU ME FAIRE ÇA! Je te déteste, je te déteste... » C'était terminé, mes larmes avaient lâchées, et j'étais presque devenue hystérique... Je voulais le faire souffrir comme jamais. J'avais mal au coeur, je n'étais pas bien... J'ai commencé alors à le rouer de coups. C'est sur que ça n'allait pas lui faire tant de mal que ça, mais moi je me défoulais. Et c'est à ce moment là, que j'ai sortis ma baguette « Endoloris! » Il n'y avais que ça à faire... Je sais qu'il souffrait intérieurement mais moi je voulais le voir souffrir physiquement. Il tomba au sol, et se remua dans tout les sens. Il fallait que je m'arrêtes, mais mon esprit disait de continuer. Au bout de trente seconde, j'ai cessé de répéter cette formule. Je me suis laissé tomber à terre, pendant qu'il reprenait ses esprits. « Je te détestes. » Lui avais-je murmurer les yeux pleins de larmes.